Introduction | ![]() |
Sommaire de l'étude |
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Marché
d’étude
- Modalités de la consultation - Conduite des travaux
d’étude
OBJET : Proposition d’étude architecturale : - Les Menuiseries - Caractères et problèmes posés par leur remplacement
PASSATION DU MARCHÉ : Marché d’étude, négocié, avec mise en concurrence.
NATURE DU MARCHÉ D’ETUDE : conforme aux CCAG applicables aux marchés de prestations intellectuelles (décret n°78-1306 du 26 décembre 1978)
CONSULTATION - CAHIER DES CHARGES - DATE LIMITE
DE
REMISE DES OFFRES :
PIECES JOINTES A LA PROPOSITION : Décomposition du coût de l’étude , calendrier du programme de réalisation
CONDUITE DES TRAVAUX D’ETUDE :
LA MENUISERE ET
SON
ROLE DANS
LA COMPOSITION DE LA FACADE
(esquisse d'un premier développement)
EVOLUTION HISTORIQUE DE LA MENUISERIE TOULOUSAINE
Toulouse, ville construite traditionnellement de brique et de bois
Rapide historique de l’Antiquité au XVIIIe siècle
Du panneau de verre monté plomb, au papier huilé, les premiers châssis vitrés.La menuiserie française du Siècle des Lumières
Source (les planches de Menuiserie et de Marqueterie de l’Encyclopédie Diderot et d’Alembert)Le tournant du XIXe siècle
Avec les progrès, qui apparurent dans la fabrication du verre plat et l’industrialisation de la quincaillerieLa menuiserie extérieure dans le projet des architectes du XIXe siècle
Sources (Musée Paul Dupuy, Archives Communales, Départementale, Département d’Histoire de l’Art du Mirail, etc)Description de la tradition du métier de la menuiserie
En collaboration avec " La Maison des Compagnons du Devoir " de Toulouse et l’association locale des compagnons menuisiers animée le Prévôt. Accès au fond documentaire aux contributions particulières des 30 associés et reproduction de témoignages directs.Le modernismeL’atelier du compagnon menuisier fût, au cours des siècles passés, au centre d’un processus de production en intégrant :
La conception, La commande des matières premières et des accessoires, La fabrication et la préfabrication L’exécution de la pose La commercialisation finale de tous les composants menuisés du bâtiment, intérieur comme extérieur. L’ensemble étant conçu, fabriqué et mis en œuvre pour répondre aux besoins précis et spécifiques du contexte urbain et climatique.
À l’initiative des architectes modernes, la menuiserie en acier apparaît à Toulouse. L’expérience trouvera son achèvement dans les années 70 (projet du Mirail), supplantée peu à peu par la menuiserie aluminium.Fin du XXe siècle, de l’ensemble menuisé homogène au " bloc fenêtre "
Organisation de la menuiserie extérieure actuelle
- Jusqu’en 1900, l’immeuble toulousain reste partiellement bâti à ossature bois sur la cour de fond de parcelle. Son escalier, ses planchers sont en bois. Il est équipé globalement de portes, de fenêtres, de fermetures, de grilles et de store qui constitue un ouvrage menuisé d’ensemble unique dans son adaptation à la spécificité des besoins locaux.
- Pour fermer le percement toulousain, on ne peut séparer la fenêtre, du volet ou de la persienne. Toutes les fonctions techniques, de la conception à la mise en œuvre, participent à la constitution d’un ensemble menuisé homogène de composants cohérents au plan technique comme esthétique.
- Aujourd’hui la menuiserie industrielle dispose d’une variété " blocs fenêtre " pour répondre à la spécificité des besoins locaux.
La normalisation, les certifications, les labels
- Source (Documentation Française du Bâtiment, Publications du Moniteur)
- Quatre principaux types de menuiseries coexistent maintenant : le bois, l’aluminium et le PVC pour la production du " bloc fenêtre " ou du " bloc porte "et l’acier réduit à la porte par l’aluminium.
- Tous procèdent d’une logique industrielle caractérisée par le double éclatement :
Filières de production :Métiers de la menuiserie :
- - Industrie nationale, locale et artisanale du bois,
- - Industrie internationale et nationale du plastique,
- - Industrie internationale et nationale du métal
- - Industrie internationale et nationale du verre
- - Industrie régionale, artisanale du bâtiment pour la mise en œuvre
- - Conception (bureaux d’étude des fabricants)
- - Fabrication des profilés (métal et bois)
- - Fabrication de la fenêtre (PVC)
- - Fabrication de la fenêtre et du volet (métal et bois)
- - Commercialisation indirecte catalogues de revendeurs (PVC)
- - Commercialisation directe " catalogues usine " (bois, métal)
- - Commercialisation par menuisier poseur (bois, métal, PVC)
- - Pose (entreprise spécialisée dans la pose) (bois, PVC)
- - Pose (entreprise de fabrication) (bois, métal)
- Au sein de cette nébuleuse, la menuiserie traditionnelle, l’atelier de compagnonnage, ne subsiste, jusqu’à ces dernières années, que sur des marchés de restauration, grosses réparations et d’entretien de la menuiserie traditionnelle des bâtiments existants. Cette menuiserie de compagnonnage est aujourd’hui en voie de disparition.
TYPOLOGIE DE LA MENUISERIE
EXTERIEURE
TOULOUSAINE
La typologie a fait ses preuves comme méthode d’étude de l’architecture du centre ancien de Toulouse. Étudier la menuiserie extérieure toulousaine par cette méthode, c’est la reconnaître comme une composante insérable de la qualité du bâti des façades des immeubles et par extension des espaces urbains de la ville.
Recensement des éléments menuisés en place, bien conservés
- Recensement à partir d’une liste d’opérations ayant fait l’objet d’une déclaration préalable de travaux ou d’une demande de permis de construire :
- En collaboration avec les Services Instructeurs ( SDAP Haute-Garonne et Ville de Toulouse), sélection des opérations
- Le recensement sera réalisé sur un minimum de 60 opérations sélectionnées pour couvrir et représenter :
- L’ensemble géographique des quartiers toulousains (faubourgs et quartiers centraux)
- Les différentes époques de construction
- La typologie du bâti toulousain, définie lors de l’étude du Secteur Sauvegardé, (cf : page 59 du rapport de présentation Avril 99) avec :
- Maison suburbaine (un étage, prolongement de la maison rurale)
- Maison de ville (commerce sur rue avec 2 ou 3 étages)
- Maison de rapport (commerce sur rue, différentiation du 1er étage noble)
- Hôtel particulier (plusieurs corps de bâtiment sur cour, du XIVe au XVIIIe)
- Immeuble de rapport (postérieur à 1890, caractéristique des grandes percées)
- Immeuble du XXe (postérieur à 1940, étages indifférenciés)
Catalogue typologique des percements menuisés
des façades toulousaines
- En collaboration avec les Services de l’Inventaire Général de la Région Midi-Pyrénées, de façon à compléter et à bénéficier du travail documentaire, sur la Banque de Données Urbaines de la ville de Toulouse, en fonction depuis plusieurs années
- Dans le recensement initial, sélection des 30 immeubles les plus représentatifs
- Production de 30 relevés complets de travées verticales types d’immeubles toulousains avec pour chaque travée:
- Plan de repérage cadastral, d’orientation climatique
- Relevés d’élévation des percements menuisés, vus de l’intérieur, avec modénature de l’embrasure sur l’ensemble de la hauteur du bâti. Échelle : 1/20 et 1/40ème
- Coupe verticale de la façade et des percements menuisés, avec modénature de la paroi, du sol à l’avant-toit sol. Échelle : 1/20 et 1/40ème
- Relevé d’élévation verticale des percements, vus de l’extérieur, avec modénature de l’encadrement du percement, du sol au toit. Échelle : 1/20 et 1/40ème
- Détails des sections et profils horizontaux et verticaux des éléments menuisés et des modénatures du percement. Échelle : 1/1
- Relevés photographiques d’ensemble et de détails
- Descriptif des bois, quincaillerie et garnitures, en collaboration avec les Compagnons Menuisiers.
LA SITUATION ACTUELLE ET LES
SOLUTIONS
PRECONISEES
PROBLEMES ET PERFORMANCES DES MENUISERIES ANCIENNES
Performances techniques des menuiseries anciennes
Les techniques d’amélioration des performances des menuiseries anciennes
- En collaboration avec l’Ingénieur consultant du Bureau d’Etude Climatique
- Évaluation critique des performances mécaniques et d’isolement des ensembles menuisés anciens au regard de la Réglementation thermique 2000 et des normes actuelles. En effet, même si la réglementation thermique n’est pas applicable aux bâtiments existants. Il est indispensable d’établir des points de comparaison qui relativisent l’emploi d’une menuiserie sur isolée pour l’amélioration du confort thermique des immeubles existants.
- En toute hypothèse, les performances des menuiseries anciennes doivent être re considérées objectivement au regard de l’évolution de la réglementation actuelle vers la prise en compte de la thermique d’été et la nécessité de ventilation des locaux (en matière de chauffage électrique).
Diagnostic pathologique des menuiseries anciennes
- En collaboration avec l’Ingénieur consultant du Bureau d’Etude Climatique
- Mise en évidence des innovations techniques susceptibles d’améliorer les performances de la baie ancienne (fenêtre, fermeture) : les joints et garnitures, les survitrages, les vitrages peu émissifs, l’isolation des volets, les volets intérieurs, rideaux textiles, etc…
- Étude et traitement des 30 cas du catalogue typologique dans leur contexte climatique particulier
Évaluation individuelle des 30 opérations de restauration dans leur prise en compte de l’amélioration des performances de la menuiserie extérieure pour répondre aux besoins climatiques particuliers des locaux.
- - La manœuvre
- - L’isolement solaire
- - L’isolement thermique
- - L’isolement acoustique
En collaboration avec les Compagnons menuisiers. Exploitation de l’étude pathologique publiée par la Mutuelle des Architectes Français qui examine 700 désordres, affectant principalement les menuiseries bois, expertisés par les compagnies d’assurance. (Fiche technique n°19 MAF 1999) L’étude des assureurs montre, que seul un état des lieux pathologique détaillé de chacune des menuiseries peut conduire le professionnel à définir la nature des travaux de restauration à entreprendre.
Analyse détaillée de l’origine des désordres affectant plus particulièrement les fenêtres
- L’analyse permet de caractériser les détériorations constatées : les caractères d’usure et de perte de valeur d’usage sont susceptibles d’être réparé tandis que l’obsolescence rédhibitoire conduit au remplacement.
- L’évolution de la pathologie dépend du temps
Caractères d'usure | Caractères de perte de valeur d'usage | Caractères d'obsolescence |
Divers, abscence d'entretien | Traverse basse mal conçue ou défectueuse | Assemblages mal exécutés (collage) |
Garniture souple mal mise en oeuvre | Préparation de la feuillure | Dispositif d'évacuation des eaux défectueux |
Trous d'évacuation des eaux bouchés | Hauteur de rejingot insuffisante | Abscence ou insuffisance des rigoles et trous |
Fixation et réglage | Pièces d'appui défectueuses | Profilés défectueux, fixation des ouvrants mal réglées |
Exécution garniture d'étanchéité (simple vitrage) | Calfeutrement défectueux | Abscence de feuillure drainante (vitrages isolants) |
Garniture souple déffectueuse | Défaut pose vitrage (perforation joint par vis) | Pourissement des montants |
Parclose défectueuses | Mauvais calage du vitrage | |
Pourissement des parcloses | Déformation due au retrait du bois | |
Jet d'eau de l'ouvrant abscent ou défecteux | Défaut de fabrication du double vitrage (non étanche) | |
Communication des trous d'évacuation et de condensation | Pourissement traverses basses des ouvrants |
LA RESTAURATION COMME PLAN D’ACTION GLOBALÉtude et traitement des 30 opérations du catalogue typologique dans leur contexte climatique Caractérisation de la démarche pathologique concernant les menuiseries extérieures sur l’opération : Qui a réalisé l’examen : maître d’ouvrage, maître d’œuvre, entreprise, plusieurs entreprises ? Nature de l’examen pathologique ? Global (opération) / par ouvrage (baie avec fermeture) / par composant (fenêtre) Niveau de définition descriptif des prescriptions de restauration des menuiseries ? Ouvrage/ouvrage (baie avec fermeture) Descriptif de restauration : global / ouvrage / composant / détail composant Absence de descriptif, descriptif de remplacement Prise en compte du niveau prévisionnel d’évolution des détériorations dans le temps ? Évaluation individuelle des 30 opérations de restauration dans la qualité de réalisation du diagnostic pathologique préalable à l’établissement du programme de restauration.
Le plan de restauration de la menuiserie extérieure
- Les termes de restauration et de réhabilitation sont souvent galvaudés. Cependant nous retiendrons la restauration pour désigner l’action globale à entreprendre pour rendre sa pleine valeur à la menuiserie ancienne, prolonger sa durée de vie et lui assurer le meilleur avenir.
- La restauration mobilise et regroupe l’ensemble des moyens d’action qui associent les ressources budgétaires du maître d’ouvrage aux disponibilités des entreprises capables de réaliser le travail et les prestations nécessaires.
- Le plan de restauration comprend :
- L’entretien courrant (graissage, nettoyage, etc…)
- Le gros entretien (décapage, peinture, garnitures, etc…)
- La grosse réparation (ouvrants, vitrages, mécanique, etc…)
- L’amélioration (garnitures, survitrages, etc…)
- Restitution à l’identique (composant préexistant disparu, volet, contre volet)
- Remplacement de composant (fenêtre, volet, etc…)
- Suppression de composant (volet, contre volet, store)
- Adjonction de composant (volet roulant, double fenêtre, store, etc..)
La restauration : mémoire et avenir de l’ouvrageEtablissement de la liste des interventions concourant au plan de restauration Limites techniques et professionnelles différentiant chaque type d’intervention Différenciation des interventions et intervenants en fonction de la pathologie constatée sur l’opération Évaluation individuelle et critique des 30 opérations de restauration dans leur faculté à mobiliser les ressources financières et techniques dans le cadre d’un plan de restauration.
Le plan de restauration considère l’ouvrage comme le résultat d’une action de restauration qui s’est bien évidemment déjà exercée par le passé et qu’il s’agit de prolonger vers l’avenir dans le cadre d’une prévision technique et financière Le plan de restauration a la capacité de mémoriser et d’intégrer les différentes interventions passées sur l’ouvrage et d’établir une prévision des interventions futures. Les interventions qui constituent le plan de restauration sont ainsi programmées suivant une périodicité :
Date | Nature intervention | Opération technique | Périodicité |
2000 | Entretien courrant | Graissage des paumelles, crémones, | Généralement annuelle |
1999 | Gros entretien | Nettoyage gorges et trous de drainage | 2 à 3 ans |
1985 | Grosse réparation | Réfection des peintures | Durabilité matériau (5 à 10ans) |
2005 | Amélioration | Pose de survitrages | Evolution des techniques et besoins |
2005 | Restitution identique | Volet, contre volet, store | Durée de vie du composant |
2005 | Remplacement | Fenêtre, volet, etc... | Durée de vie du composant |
1985 | Suppression | Volet, contre volet, store | Durée de vie du composant |
2005 | Adjonction | Volet roulant, double fenêtre, store | Durée de vie du composant |
Prise en compte des restaurations passées : carnet d’entretien, descriptifs des interventions ? Prévisions techniques et financières des restaurations futures : entretien prévisionnel, grosses réparations, etc… ? Etablissement de périodicités d’interventions suivant les ouvrages ou les interventions ? Elaboration d’un plan de restauration prévisionnel informatisé ? Evaluation individuelle et critique des 30 opérations de restauration dans la qualité de prise en compte : Des interventions passées, (entretien courant, grosses réparations, etc…) que l’ouvrage a subi et qui permettent de le juger objectivement. Des interventions prévisionnelles qui assurent l’avenir de l’ouvrage
Complexité et limite à la restauration
architecturale : la restitution à l’identique, le remplacement
Le cas du remplacementTous les types d’interventions décrits précédemment (entretien courant, gros entretien, grosses réparations, etc…) doivent être conjugué par l’homme de l’art dans le cadre d’un projet global de restauration architecturale des menuiseries extérieures de l’édifice. La restauration s’appuie sur la connaissance du potentiel d’amélioration d’un ouvrage, ainsi que sur la connaissance détaillée de sa pathologie passée et prévisionnelle pour définir le programme d’amélioration le plus juste. Restauration /amélioration : La restauration ne doit pas exclure l’amélioration de l’ouvrage, notamment lorsque ce dernier est de conception ancienne et qu’il n’assure pas de réponse à de nouveaux besoins techniques. La pose d’un survitrage d’isolation phonique sur un cadre ouvrant est une entreprise d’amélioration et de restauration. Restauration /rénovation : De même la restauration n’exclue pas la rénovation, le projet est conçu globalement, dans ses potentialités à rénover et à améliorer un ouvrage tout en lui conservant ses qualités et sa valeur esthétique. Restauration /valorisation : La restauration valorise l’ouvrage car elles prévient son obsolescence technique en augmentant ses capacités techniques tout en préservant son esthétique. Restauration /remplacement : La restauration n’exclue pas le remplacement complet d’un composant du projet. La limite de la restauration est atteinte lorsque l’identité esthétique de l’ouvrage est dénaturée. Restauration /restitution à l’identique : Les limites du projet de restauration ne sont pas quantitatives et techniques, elles sont qualitatives et esthétiques. La restitution à l’identique est une limite de la restauration qui suppose que l’on conserve la possibilité de rendre à l’ouvrage son aspect et ses qualités esthétiques d’origine. Dès lors que les travaux entrepris sur l’ouvrage lui font perdre son identité, ceux-ci appartiennent au domaine de la rénovation. À l’inverse, tant qu’un objet conserve une part d’identité, il peut être restauré.
La restauration doit manier " le remplacement " avec le plus de retenue possible, car ces moyens d’intervention supposent forcément une perte d’identité de l’ouvrage. Les interventions de l’ordre du remplacement, de la suppression ou de l’adjonction de composants (fenêtre, volet) sont susceptibles de modifier considérablement la composition de la façade de l’immeuble. Les solutions sont architecturales, il convient de distinguer les projets suivant leur impact visuel : Respect de la typologie de la menuiserie ancienne (remplacement ponctuel, limité) Différenciation et apports nouveaux (remplacement partiel suivant nouvelle composition de la façade) Dépouillement et appauvrissement de la typologie ancienne (remplacement systématique) Il convient également de relever les qualités des produits modernes sélectionnés pour limiter l’impact des modifications apportées à la typologie traditionnelle Produits esthétiquement proche du composant traditionnel Produits nouveau sans équivalent dans la typologie ancienne Produits dénaturant la typologie traditionnelle
Évaluation individuelle et critique de 30 opérations de restauration et de remplacement dans la qualité de prise en compte de la typologie de la menuiserie ancienne Sélection et description détaillée des produits les plus proches des produits caractéristiques de la typologie toulousaine, au sein de la liste actuelle des produits labellisés ACOTHERM.
ELABORATION D'UN CAHIER DES CHARGES
EN FORME DE GUIDE